Quelle est la meilleure méthode pour structurer la numérotation des fiches US dans Syslat ?

[tristanbailly83]

Bonjour à toutes et à tous,

Je me familiarise actuellement avec l’utilisation du SIA Syslat, et une question me revient souvent :
Comment bien structurer la numérotation des fiches US dès le départ pour éviter de devoir tout reprendre plus tard ?

Je sais que certaines équipes utilisent des logiques propres, parfois basées sur des codes chantier, des dates ou des identifiants spécifiques, mais j’aimerais m’appuyer sur une méthode claire et durable.
Concrètement, je me demande :

– Existe-t-il une recommandation officielle ou des exemples de formats bien conçus ?
– Faut-il inclure des éléments comme la zone géographique, la date de fouille, ou juste un numéro incrémental ?
– Y a-t-il des erreurs fréquentes à éviter pour que l’ensemble reste lisible dans le temps ?

Pour celles et ceux que ça intéresse, j’ai trouvé aussi cette page qui centralise pas mal de ressources utiles, notamment des fichiers et documentations liés à iSyslat :
https://www.syslat.fr/SQL/pub-isyslat/fichiers.html

Merci d’avance à tous ceux qui prendront le temps de partager leur expérience ou leurs conseils. Ça m’aidera — et sûrement d’autres aussi — à démarrer sur de bonnes bases.

[smunos]

Bonjour,

La numérotation des fiches US dans Syslat ne peut adopter que la forme d'un nombre entier supérieur ou égal à 1000. Le logiciel refusera tout autre format.

Concernant la méthodologie de numérotation (et pour faire vite), le système entier repose sur le fait que chaque US appartient à une zone. Cette dernière étant identifiée par un numéro de 1 à n. Ainsi, le numéro d'Us est composé du numéro de la zone à laquelle elle appartient suivi d'un numéro d'ordre.

Par exemple, la premier US de la zone 1 sera numéroté 1001. Selon le même principe, l' US 123857 correspond à la 857ème US de la zone 127.
Pour plus de détail, je vous conseille la lecture de la partie du manuel qui traite de la notion de Zone et d'US dans Syslat.

Une fois que ces principes et limites sont bien compris, il est tout à fait possible d'adapter la numération aux besoins de la fouille (ou des données à reprendre).

Voici un exemple d'utilisation de Syslat pour la reprise de données de fouilles anciennes qui a nécessité une réflexion sur la méthodologie d'enregistrement.